Depuis le 20 novembre 2023, les experts en télécommunications de divers pays, y compris de la Guinée, à travers les équipes de l’ARPT, œuvrent conjointement sur plusieurs projets techniques de la CMR 2023 à Dubaï. Les sujets abordés sont diversifiés allant de la gestion du spectre, la propagation des ondes radio, les services par satellite, les services de radiodiffusion jusqu’aux services scientifiques. Chaque domaine, représenté par un groupe d’études dédié, contribue ainsi à enrichir les discussions, illustrant l’engagement collectif envers la recherche de solutions, la définition de normes dans le domaine des radiocommunications et l’attribution des spectres.
Dans les prochains jours, les dirigeants des différents pays membres de l’IUT préparent la concrétisation des acquis des nombreuses séances de travail, en signant des accords qui façonneront les politiques et les normes des radiocommunications pour les quatre prochaines années.
L’objectif principal de notre participation à cette CMR-23 était de défendre les positions de l’Afrique en général et de la Guinée en particulier, sur les diverses questions à l’ordre du jour de la CMR-23 relatives aux fréquences et aux positions orbitales. Cette implication renforce également la coopération régionale pour des avancées concertées dans le domaine des radiocommunications à travers les décisions africaines communes soumises par l’Union Africaine des Télécommunications (UAT).
Alors que la clôture de la CMR 2023 approche (15 décembre 2023), l’impact de ces rencontres et discussions résonnera bien au-delà de Dubaï. Les décisions prises auront des répercussions significatives sur l’utilisation et le partage des spectres de radiocommunications dans un monde de plus en plus connecté.
L’ARPT reste engagée dans une dynamique collaborative pour une meilleure gestion, impliquant différents acteurs du secteur public et privé dans cette mission.
